Soirée au Crazy Horse – samedi 14 décembre 2019

SOIREE CABARET AU CRAZY HORSE – Samedi 14 décembre 2019

 Nous étions 26 amicafiens qui, malgré les difficultés de transport se sont retrouvés devant le célèbre cabaret « Le Crazy Horse » parmi nous, deux adhérents de l’Amicale des anciens salariés de la Caf de l’Essonne. Deux hommes de la Police montée Canadienne nous accueillent. Entrer dans le cabaret est un peu perturbant, en raison du grand nombre de miroirs fixés sur les murs et où se reflétent les lumières. Puis, nous passons devant la boutique d’accessoires des danseuses : perruques de différentes couleurs et lingerie en dentelle noire « très érotique ».

Installés dans des canapés de couleur rouge pour quatre personnes, nous étions prêts à assister au spectacle « Totally Crazy » tout en dégustant du champagne.

Un artiste qui, par des effets d’optique semblait flotter sur fond de ciel étoilé, se met à chanter puis se déplace dans les rangs des spectateurs entrainant une de nos amicafiennes, Anne-Marie dans un cha-cha-cha endiablé.

Puis, le rideau se lève et les danseuses apparaissent : le show commence par le tableau le plus célèbre de la maison – les Crazy Horse Guards – douze beautés chaussées de bottes hautes et chapeautées du mythique « bearskin » (couvre-chef de la garde britannique) défilent au pas militaire.

Dans un tableau, imaginé par Chantal Thomass, la « reine des cœurs », les danseuses se balancent sensuellement sur un fond écarlate.

« Rouge désir » lui succède, sur une chorégraphie de Philippe Decouflé, une silhouette sublime émerge de la pénombre et chevauche un fauteuil.

Robert Muraine, l’invité de la soirée, nous a ravis dans son numéro d’imitation de Mikael Jackson.

Tableau suivant « Scanner » : le corps des danseuses est passé au crible d’un scanner, elles apparaissent et disparaissent en lumière.

Dans un autre tableau,  Philippe Decouflé met en scène  « Upside down » : les jambes galbées des danseuses qui sont démultipliées sous des effets de lumière. Les chaussures du spectacle ont été spécialement créées par Christian Louboutin, le chausseur à la semelle rouge.

Dans « Strip tease moi », deux danseuses se sont livrées à une chorégraphie érotico-chic sur le célèbre canapé dessiné par Salvador Dali. Ensuite, « Baby Buns » est un clin d’œil adressé aux femmes qui se font aborder par les hommes sur l’avenue des Champs Elysées.

« Take me love » est une invitation au bonheur, un moment intense célébrant la magie de l’amour.

« U turn me on », après 90 minutes d’une sensualité malicieuse, les Crazy girls nous ont offert leur bouquet final très cadencé.

Certains d’entre nous continuent de discuter, d’autres quittent le cabaret, satisfaits de ce spectacle sensuel et riche en couleurs.

Texte : Denise Meunier

 

 

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