Randonnée au fil de la Seine – Vendredi 24 mars 2023

En raison des incertitudes du côté des transports, nous avons opté pour un changement de cap, à l’ouest limité aux bords de Seine et non plus à l’est sur les bords de la Marne. Rendez-vous est donné à Bercy où nous nous retrouvons à sept.

  
Le soleil est timide mais l’atmosphère printanière est agréable.
Nous démarrons par la rive gauche admirant le Jardin « Tino Rossi » situé entre le pont d’Austerlitz et celui de Sully,
belle promenade arborée et parsemée de sculptures du XXe siècle dont nous essayons pour certaines, de deviner ce que l’auteur a voulu représenter….


Hommage à Rimbaud, sur le côté est écrit : « L’homme aux semelles devant »
L’été, c’est un site prisé des adeptes de pique-nique, des danseurs, des musiciens et autres saltimbanques. Un couple nous donne un aperçu en esquissant un tango dans une alvéole au bord de l’eau.

 
Nous continuons notre chemin sous les ponts de Sully, de la Tournelle, avec bientôt, à notre droite l’île Saint-Louis et le chantier de Notre Dame.


Sur le quai Saint Michel, les poubelles bouchent l’entrée de la rue Xavier Privas…


Plus loin, nous descendons quelques marches pour jeter un coup d’œil au square du Vert Galant d’où nous avons une belle vue sur l’Institut de France, magnifique édifice qui accueille les «hommes en habit vert » et sur l’hôtel de la Monnaie, puis nous remontons de l’autre côté pour rejoindre la rive droite.


Nous passons sous les arches des différents ponts dont celui, bien sûr, que nous admirons le plus, le pont Alexandre III ; puis celui des Invalides qui offre une magnifique vue sur le dôme d’or…

 
Le vent se renforce mais nous poursuivons courageusement notre chemin. Nous passons à hauteur du Pont de l’Alma flanqué du fameux zouave qui, pour le moment, n’a pas les pieds dans l’eau.

Nous retraversons la Seine et longeons la promenade à hauteur du musée des arts premiers.
Une bonne averse nous contraint à nous réfugier sous un arbre.


Une éclaircie nous permet d’espérer pique-niquer sur l’île aux cygnes. Hélas ! Le temps de repérer deux bancs, un grain de grêle accompagné de bourrasques nous fait décamper et c’est à grande vitesse que nous regagnons le pont de Bir Hakeim !


Nous capitulons et décidons de regagner nos pénates pour y déguster nos casse-croûtes… Toutes fières d’avoir parcouru 11 kilomètres, minimum pour notre forme physique !
Texte : Geneviève
Photos : Christiane

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