Il faisait très beau ce jour là et nous sommes sept à nous retrouver à la station Rosa Parks du tram T3b.
Après être passés par la gare SNCF nous suivons la rue Curial et traversons le square du même nom où nous admirons les pommiers du Japon chargés de fruits minuscules, puis nous découvrons les fresques de la rue Bernard Tétu (médecin du quartier disparu en 2003), sorte d’hommage à la nature et au Comte Philibert Curial, général français de la Révolution et de l’Empire.
Cela nous amène au Parc du Pont de Flandres aménagé sur le site des anciens entrepôts des
magasins généraux de Paris.
Les anciens bâtiments aux façades préservées côtoient les nouveaux immeubles et forment
l’unique parc tertiaire de Paris où de nombreuses sociétés et services sont installés.
des bâtiments, alignés de part et d’autre d’une pièce d’eau tout en longueur qui aboutit, tout au fond, sur un petit pont décoré d’un joli trompe l’œil.
A la sortie, la rue de Cambrai nous mène à la porte de la Villette. Un des immeubles de « Villette Nord » côté boulevard Mac Donald, avance gaillardement sa proue de navire.
De là nous partons à l’assaut de la Cité des Sciences et, en nous promenant, nous explorons ce
site tantôt à l’extérieur, tantôt à l’intérieur.
A la Géode, nous faisons le tour de la Clepsydre sonore, version moderne de l’horloge à eau inventée par les égyptiens il y a bien 5000 ans !
Plus loin c’est l’Argonaute, un vrai sous-marin de chasse des années 50 qui peut être visité, mais ce n’est pas le but de notre promenade, on se contentera d’une photo !
Après avoir passé un pont sur le canal de l’Ourcq, nous nous baladons dans le parc de la Villette
et nous nous arrêtons devant une sculpture monumentale représentant les éléments d’une
bicyclette. Une selle, une roue de vélo et une pédale géantes émergent du sol, il s’agit de
l’oeuvre «la Bicyclette ensevelie ». Plus loin une bambouseraie de 3000 m2 regroupe 30
espèces de bambous.
Nous continuons vers la Philharmonie de Paris en longeant la Grande Halle.
La promenade se termine à la porte de Pantin et chacun rentre chez soi par le tram ou le métro.
Texte : Françoise Mota & Christiane Bruneau
Photos : Christiane
